L'âge et l'année de mon personnage sont plus élevés que demandés uniquement pour correspondre à la demande de relations de Lune. J'ai donc commencé les descriptions, mais j'attendrai son aval pour poster l'histoire, si cela vous convient.
Nom : Gallaway (of)
Prénom : Dominic
Âge : 13, va sur ses 14 ans
Sexe : masculin
Race/sang : sorcier de sang pur
Origine : Grande-Bretagne
Fonction dans Poudlard : Elève, début quatrième.
Physique du personnage : Jolie gueule d'ange… Des cheveux châtains dont l'indiscipline pourrait avoir été étudiée, légers et lumineux. Une pâle peau encore aussi lisse que celle des bambins à la texture de pêche, les joues encore imberbes rosissant facilement sous l'action du froid, du vent, de l'enthousiasme dons les dernières rondeurs s'atténuent pour marquer un peu plus les pommettes. Sous des sourcils expressifs les yeux ont le velours de leur couleur tellement sombre qu'on la qualifierait aisément de noire. Mobile, observateur, le regard peut se faire de miel si l'envie l'en prend.
Fausse gueule d'ange… La bouche encore charnue de part sa jeunesse prend facilement un pli ironique ou frondeur, sourires sibyllins, moues glaciales. Achevant un nez dessiné, les narines ciselées en suivent les expressions et ces mêmes yeux passent aisément de la chaleur à l'in expressivité d'un canon de fusil. La mâchoire se masculinisant peu à peu révèle une véritable volonté.
Capable de concurrencer un descendant des Vélanes... Décidément ça n'est pas juste d'être si gâté ! Surtout quand le corps est à la hauteur du visage jusqu'aux bouts des doigts : un peu plus grand que la moyenne, les muscles découplés autant par un naturel souple où la graisse n'a pas sa place que par la pratique depuis son très jeune âge des sports des aisés mais aussi du balai volant, eh oui, ça sert d'avoir un père dans ce milieu. Et pour comble cette attitude calme toujours entre-deux, amusement et ennui, joie et ironie, colère et respect, chaleureux et froid, comme si Dominic n'était jamais vraiment sûr d'être l'acteur ou le spectateur des situations qu'il vit. Mais quand on a telle apparence, à coup sûr il doit y avoir quelque tromperie là-derrière.
Caractère/Psychologie du personnage : En apparence sociable (du fait de la présence de deux autres enfants dans la famille ?), établissant facilement le contact, la parole et la plaisanterie aisée, l'adolescent sait se servir de ses atouts physiques autant que rhétoriques pour se fondre aisément dans les milieux qu'il traverse. Pourtant ce n'est souvent qu'habitude, désir d'arriver à ses fins par la diplomatie plutôt que la confrontation de front, conscience qu'il n'est de meilleure manière d'éviter les ennuis et autres situations désagréables. Ce n'est pas qu'il n'apprécie pas les gens, comme tout un chacun à son âge il y a ceux qu'il considère comme des amis, des ennemis, des rivaux, des fantômes, des désirables… Simplement, en fonction du statut, de la force, l'intelligence de la personne lui faisant face, il adapte son comportement. Ainsi il pourra faire preuve d'une hypocrite amabilité avec quelqu'un qu'il méprise copieusement.
Calculateur, il l'est aussi pour ses études, se contentant de ne travailler que ce qui est nécessaire pour arriver généralement en fin de tête, début de milieu de classe, ne cherchant cette fois pas les feux de la réussite, navigant au plus près pour profiter aussi au mieux de son temps libre. Son ego s'accommode assez bien de l'humilité et même de la lâcheté si cela doit à terme lui servir.
Mais froid il ne l'est pas tant qu'il voudrait l'être. Sa fierté liée bien intrinsèquement à son dédain pour certains peut le pousser à prononcer les paroles les plus blessantes lui passant par la tête et à agir avec toute la distance dont il est capable, quand bien même cela ne se révèle pas forcément très avisé. De la même manière, pour un ami proche, sa fibre romantique, autrement étouffée sous ses réflexions méthodiques ou par le peu de cas qu'il fait des autres, se réveille et il pourra risquer gros à soutenir ou aider, devenant aussi nettement moins méfiant et aussi bien plus ouvert. L'exemple parfait des occasions où ses ambitions cessent de dicter sa conduite est en la personne de Lune G. S. Agatha. Impossible en sa présence de ne pas cracher tout le fiel possible, de ne pas afficher ouvertement un froid mépris, de ne jamais hésiter, semble-t-il, à lui nuire. Une haine évidente, n'est-ce pas, sûrement due à la rivalité provoquée par la trop grande beauté des deux garçons. Et pourtant… Haine il y a peut-être, ou plutôt une belle détestation, et d'autant plus mordante que malgré son jeune âge, sa sœur, l'amour, le tourmente et qu'il voudrait tant la faire taire, en vain. N'aurait-il pas pu aimer une créature moins égotique, moins vexante, moins compétitrice, moins…. Comme quoi, on est parfois moins gâté qu'on ne croit.
Enfin il est à noter une évolution récente : d'un côté, comme si à force de se maîtriser toujours, de se brider, les émotions finissent peu à peu par se taire et les dernières traces d'innocence enfantine achèvent de disparaître en même temps que sa volonté s'aiguise, que son empathie diminue, que le cynisme s'installe. De plus en plus son attitude se fait de nonchalance distante et Dominic se laisse bien plus difficilement toucher par les autres, comme il réfléchit toujours plus aux causes et aux conséquences. D'un autre côté, il éprouve également une certaine mélancolie due au fait que tous ces beaux outils restent inutilisés tant qu'il ne se sera pas fixé un but. Certes pour le moment il veille à son propre bien, prend comme une longueur d'avance pour ce que pourrait lui réserver l'avenir, mais son aspiration à quelque chose de plus grand le tiraille sans qu'il puisse étancher cette soif-là.
Famille :
-Père : Marcus of Gallaway, 45 ans, travaille dans une entreprise de création/amélioration de balais volants
-Mère : Johane of Gallaway, 40 ans, employée de la Banque Gringotts
-Frère et/ou Sœur : Jackie 9 ans et Arthur 7,5 ans
-Situation familiale : tout ce qu'il y a de plus normal quand on vit ensemble
Histoire : Parfois, il semble qu'une bonne fée se rappelle ses devoirs auprès des nouveau-nés, et comme pour s'excuser de sa mémoire défaillante dans de si nombreux cas, elle donne beaucoup aux chanceux. Ce fut le cas de Dominic, premier-né d'une famille sorcière aisée, une bouille d'ange, et comme les anges, il était d'une blondeur adorable durant ses premières années avant que sa chevelure ne prenne un teint châtain. Ses parents étaient visiblement fiers de leur sang 'pur' mais ne faisaient preuve d'aucune agressivité envers ceux qui ne partageaient pas cet état de chose, se contentant de considérer comme naturel le fait qu'ils étaient par conséquent supérieurs aux autres, qu'ils n'avaient en la matière rien à prouver puisque c'était l'évidence, prenant même parfois en une pitié un peu dédaigneuse ces 'pauvres Moldus". Aussi quand leurs enfants, qu'ils devaient avoir finalement au nombre de trois, furent en âge d'apprendre, ils les envoyèrent sans gêne dans une école qui n'avait rien de sorcier, pensant qu'ainsi leurs rejetons apprendraient tout ce qui était nécessaire sans être magique et sauraient du même coup comment s'intégrer dans des sociétés radicalement différentes.
Loin d'être trop gâté par ses parents simplement parce qu'il était un si bel enfant, Dominic ne se rendit que progressivement compte des avantages que cela lui offrait, l'assimila naturellement, en jouant sans malice dans un premier temps. Les choses changeraient. Comme sa sœur naissait quatre ans après lui, il apprit la jalousie, les concessions, la diplomatie, à l'échelle d'un enfant naturellement. Pourtant ceci explique assez bien la différence entre le masque calme et réfléchi offert en société et les véritables pensées et sentiments, comme d'être l'aîné pouvait être à l'origine d'une certaine tendance à se penser capable de tout faire tout seul et, consciemment ou inconsciemment, de se méfier des intrus. Sa première année en primaire se passa à merveille, un nouveau frère le déstabilisant moins que la naissance de sa cadette à laquelle il s'était habitué. Les autres enfants se tournaient bien assez vers lui pour qu'il en tire bon compte. Là encore, cette nette tendance à la manipulation apparut tout en douceur, devenant intrinsèque, part de sa personnalité et d'autant plus qu'il observait les ravages que provoquaient les conflits ouverts. Cela ne valait vraiment que si l'on était le plus fort, et pour le physique, il avait les charmes mais certainement pas la force pour être assuré de gagner quoi qu'il arrive. Prudence donc. Et de continuer à obtenir ce qu'il désirait par le miel plutôt que le vinaigre, auprès des adultes comme des enfants. Il faudrait encore quelques années avant qu'il apprenne qu'il pouvait aussi se montrer odieux si l'envie l'en prenait, et le plaisir qu'on pouvait en retirer, à condition d'y mettre les formes.
Aussi, lorsque suite à l'un des nombreux déménagements qui l'avaient fait découvrir bien des lieux différents durant son enfance, il changea d'école pour sa seconde année, il agit comme il l'avait toujours fait, s'attirant de nombreux camarades aux dépens d'un autre élève. Celui-ci était très gracieux, ne pouvait pas être un Moldu. En vérité, ce fut surtout parce qu'il y était habitué, enfant encore naïf qu'il était, que Dominic se fit des amis parmi ceux que Lune, puisque c'était le nom de ce garçon, s'était choisi. Car malgré une assurance et un égo assez rebutant, Dominic vit en cet autre enfant un égal, quelqu'un qui pourrait certainement comprendre ses jeux et les partager. Toutefois, il se passa trop de temps avant qu'il ne s'en rendit vraiment compte et lorsqu'il se retrouva seul, comme Lune s'était évertué à reconstituer sa cour, il n'obtint en échange de cette offre d'amitié qu'un poing sur le nez.
Comme toujours, il éprouva le mépris que l'usage de ce type de violence lui inspirait, mais s'y ajouta la fureur, la vexation et le dépit provoqués par ce premier véritable refus qu'on lui opposait. De ce jour il se mit à détester Lune et ne perdit pas une occasion de le lui faire sentir, quand bien même cela allait à l'encontre de ses principes naissants.
Un nouveau déménagement l'envoya à Durmstrang, l'école y étant plus proche du nouveau domicile familial que Poudlard. C'aurait pu être l'occasion de prendre du recul, de profiter des autres enfants qui l'entouraient, des cours tellement plus passionnants que l'enseignement des mathématiques, de l'éloignement pour se reprendre. De plus la politique de l'académie lui convenait parfaitement, les paysages du Nord lui plaisaient tant qu'il s'y sentait chez lui. Dominic s'intégra sans difficulté dans ce nouveau pays, cette nouvelle école, prit aisément ses marques auprès des autres élèves, des autres cultures. Mais il fallut bien se rendre à l'évidence au bout de quelque temps que Lune lui manquait, comme si ce qui l'entourait avait un peu perdu en consistance ou en intensité du fait de son absence. Sentiment bien gênant quand il s'agit de l'être qu'on supporte le moins. Au vu des circonstances, il restait au moins aisé de faire comme si. De faire comme si, même quand le manque se révéla trop grand pour être anodin, malgré ses jeunes années, Dominic comprit bien vite la nature de ses sentiments qu'il voulait renier. Alors même que l'admettre était en soi désagréable, presque blessant du fait que ce fut si peu désiré, bien au contraire, ce qui ne fit qu'exacerber sa détestation de l'absent. Par fierté, son attitude ne s'en trouva pas changée d'un iota et apprendre à transgresser les règles sans se faire prendre était un passe-temps parmi d'autres qui occupait fort ses pensées.
Il n'avait pas voulu rentrer en Angleterre. Quand ses parents l'annoncèrent à leurs enfants ils eurent la surprise de la virulence avec laquelle leur aîné s'y refusait, il se plaisait de plus en plus à Durmstrang où il pouvait qualifier déjà quelques camarades d'amis, préférait la mentalité et le mode de vie du Nord. Mais ce sont les adultes qui prennent les décisions, aussi retour il y eut, bien qu'il fut fort morose.
L'une des bonnes choses lors de son arrivée dans cette nouvelle école fut assurément son intégration dans la maison des Serpentards. S'y sentant parfaitement à son aise, il s'en fallut de peu qu'il revienne sur son regret d'avoir quitté Durmstrang. Avec un plaisir égal, il eut le plaisir d'être accepté au poste de batteur de l'équipe de Quidditch de sa maison, ce qui lui donnait l'occasion d'user de toute l'énergie qu'il n'aurait autrement pas eu l'occasion de brûler, autant que de profiter des plaisirs du vol, jouant plus sur la rapidité et une adresse malicieuse que sur la force brute pour déstabiliser les joueurs des équipes adverses.
Baguette : 37 cm, châtaignier
Animal : un hibou petit duc, Log
Signes distinctifs :
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Questions HJ :
Age HRP : 21 ans dans quelques jours
Comment avez-vous découvert ce forum ? Tour de Jeu
Sujet: Dominic of Gallaway 
Lun 21 Juil - 18:54
