Demeure Delmiel

Miranda revenue à contrecoeur de l'école Poudlard pour rentrer en Irlande, la ou l'attendait toute sa famille. À son arriver au pays, son frère, Geoffroi vint la chercher et ils partirent ensemble vers la demeure. Geoffroi parut un peu préoccupé, comme si quelque chose de grave venait d'arriver.

Dit, est-ce que ça va? Tu me dis tous habituellement... Qu'est-ce qui t'arrive?

Geoffroi resta muet. Elle eu beau lui demander des centaine de fois, essayer de trouver des terrains d'entente, tenter de deviner, elle n'arriva pas à trouver. Geoffroi les fit transplaner après cette longue discussion qui commençait à l'épuiser. Ils arrivèrent à la peut-être petite mais au combien agréable maison de le famille Delmiel. Et pourtant, quelque chose avait changé, mais Miranda était incapable de le nommer. Elle chercha vite du regard et aperçu devant la porte de grosses valises. Quand elle s'approcha avec son frère de la porte, elle put entendre des cris de l'intérieur de la maison. Des qu'elle fut à l'intérieur, elle se dirigea à toute vitesse vers ces cris de protestation.

-...Et vous n'avez aucun droit de revenir maintenant! Vous n'êtes qu'un profiteur et un pauvre misérable incapable.

-Katherine, je t'en pris... soupira le père de la famille. Écouter monsieur, elle n'a pas tord et vous savez, nous avons des droits, Geoffroi aussi. Vous ne pouvez le forcer à un tel acte, puisqu'il n'en a pas envie et que nous ne sommes pas plus disposer à le forcer.

-Alors vous n'avez donc aucun respect, aucunes compassions pour les membres de votre famille? dit un homme d'âge mur, peut-être 60 ans, que Miranda n'avait jamais vu. Vous êtes égoïste à ce point!

-Nous? Égoïste?

Katherine devint furax. En fait, Miranda n'aurait jamais cru que sa si frêle mère aurait put ainsi sauter à la gorge de quelqu'un. Tout ce qu'elle lui avait crier avant... Ce devait vraiment être quelqu'un d'ignoble pour qu'elle le déteste à ce point. Et là, le volcan Katherine s'enflamma puis explosa.

-C'est toi le monstre qui nous m'a jeter à la rue! Te rend tu compte que j'avais un bébé dans le ventre et aucun moyen de me loger ou de me nourrir? Une bonne chance que Tante Clarisse m'ait hébergée, sinon Geoffroi n'aurait probablement jamais vue le jour. Tu as toujours été la source de mes malheurs! Maintenant j'ai une vie tranquille sans toi et elle est comme je veux. Alors je ne vois vraiment pas pourquoi je devrait t'accueillir ici et accepter cette... cette horrible service que tu demande à ma famille!

Katherine se rassit et Saïron pris à son tour la parole.

- Son épreuve, je l'ai vécu avec elle. J'ai vécu chaque manque, chaque tristesse et j'ai été là à chaque instant depuis plus de 20 ans bientôt. Ma femme, votre fille, est bouleversée et moi je suis indigné. Je vous dirais en toute honnêteté que je n'ai aucun respect pour vous. Alors sortez de ma maison.

Le vieil homme, que Miranda comprit étant comme son horrible grand-père, resta le visage indéchiffrable. Puis il sourit.

-Laisser lui au moins une chance. De toute façon j'ai déjà envoyé l’invitation, les Baudelaire et leur fille vont venir quelques jours ici. Ils arrivent dans deux jours.

Il fit un horrible et si désagréable sourire. Les parents se regardèrent longuement. Ils parurent soudain ahurit à l'idée de la visite des Baudelaire. Miranda n'avait jamais entendu parler de cette famille. Le nom sonnait très français. Geoffroi, lui, regardait par terre en chuchotant des injures, ses cheveux bruns devant le visage. Tout ça était si mystérieux. Mais enfin, que ce passait-il donc?

Le vieux Beaudelaire parti un matin chercher sa fille chérie. Tout le monde attendait patiement en déjeunant Évangéline. Miranda avait beaucoup questionné Geoffroi la veille.

-Tu vas avoir le cran de leur dire leurs quatre vérités?
-Pourquoi pas? Il ne mérite que ça apres tout!
-Et avec le grand-père?
-Lui, il me fait voir rouge...
-Hey! Si elle est jolie?

Il l'avait regardé de travers avant de partir dans sa chambre pour se changer les idées. Il parraissait bien normal et tout à fait bien devant les autres adultes, mais son frère et sa soeur savaient qu'il n'allait pas bien. Ils voyaient bien que toute cette situation le rendait furax. De plus que chaques fois qu'il se retrouvait dans la même pièce que son grand-père, l'homme qui avait renié sa mère lorsqu'il était en train de grandir. Parfois, Miranda s'imaginait qu'il avait du vivre cette épreuve lui aussi dans le ventre de Katherine. Elle était sure qu'il écoutait quand sa mère pleurait. C'est bien pour ça que maintenant ils est l'un des plus fort de la famille, et qu'il avait toujours protégé ses frères et soeurs de tout le monde.

Néanmoin il n'avait pas encore fais un seul faux pas. Il était toujours très poli avec les Beaudelaires. Aussi surprennant que cela puisse parraitre, ils s'étaient calmer tout les deux. La veille de l'arriver de leur fille, ils furent même un peu reconaissant, à leur manière, qu'ils les avaient laisser vivre chez eux.

-Tu sais mon petit Geoffroi, avait lancer Mr. Beaudelaire, je te trouve très bien comme garçon! Tu sais, ma fille a 18 ans, bientot 19, et c'est mal vus dans notre famille que les jeunes filles ne soient pas mariées a 20 ans. Cette une vieille tradition et de plus, nous trouvons tous que c'est vraiment l'âge parfait. Mais... Évangéline n'y a pas travailler beaucoup. On dirait qu'elle ne s'en préoccupe pas!

-Ne dis pas ça chéri! lui dit sa femme. Elle est jeune et un peu insouciante, mais elle n'est pas du genre à vouloir nous désevoir. Je suis sure que tout va bien aller pour nous tous.

Geoffroi essaya de s'étouffer discrètement au bout de la table avec un morceau de pain. Malheureusement, le morceau passa et il devrait vraiment endurer sa rencontre avec Évangéline.

Donc, nous voici à cette fameuse journée. Geoffroi fais des efforts surhumain pour sourir à Mrs. Beaudelaire quand elle commenca à parler des enfants. Une voiture se fit entendre. Geoffroi resta bein crouller dans son fauteuil déterminé à ne pas bouger. Miranda était assise à côté de lui, voulant être aux premières loges de sa rencontre avec la française.

La porte s'est ouverte. La voix des parrents se firent entendre, mais pas celle de la jeune fille. Miranda vit la sueur sur les tempes de son frère et elle aussi, commenca a trouver l'attente longue. Puis les Beaudelaires entrèrent avec leur fille à l'arrière. Le spectacle fut vraiment... vraiment surprennant.

La jeune fille avait de grande jambes qu'elle laissait un peu voir sous une jupe noire bien normal. Elle portait une veste rouge ou elle avait glisser ses mains. En dessous un t-shirt une camisole blanche qui la mettait tout à fait en valeur. Elle était très mince et portait de petite lunette noire tout à fait coquette. Elle avait des long cheveux blond onduler qui lui tombaient sur les épaules. Lorsqu'elle vit Geoffroi, elle lui fit un petit sourir et cacha un peu son visage derrière sa chevelure. De son côté, il parru aussi gêné. Miranda rit interrieurement. Elle se doutais à présent que toute cette histoire allait devenir un peu plus compliquer pour son frère.

Miranda avait vu juste. Son frère prit un chemin différent qu'il avait prévu pour le futur. Ancien de Poudlard, ayant vu des choses tout à fait surprenant, Évangéline Beaudelaire fut ce qu'il trouva des plus enrichissant. Une jeune artiste, elle était aller faire le tour des États-Unis pour voir les galeries d'art du pays. Elle en profita pour prendre contact avec de vieux amis et de s'amuser à fond. Elle était partie à l'instant de sa sortie de Beaubâton. Son aspiration première serait de devenir sculpteure-peintre. Ses toiles étaient magnifique. Elle en offrit une à Geoffroi et une autre à Miranda qui trouvait son art admirable.

Elle aidait toujours Katherine pour les repas et était gentille avec tout le monde. La jeune étudiante aurait trouvé fou Geoffroi de ne pas l'adoré. En parlant de celui-ci, il tomba justement sous le charme de la belle demoiselle. Elle aussi sembla resentir les mêmes sentiments. Miranda n'aurait pu en douter. Son frère avait toujours été le sex-symbole de sa maison à l'époque ou il était a Gryffondor. Les deux adorait l'histoire et la musique. Elle jouait parfaitement le piano.

Un soir, Miranda se rendit à la salle de bain avant d'aller se coucher. Elle entendit deux voix mielleuse, amoureuse, se susurer des paroles romantique. Les deux amants c'était réfugiés dans la chambre de Geoffroi, question d'avoir un premier moment intime. Geoffroi lui dit tendrement:

-Sauvons-nous! Evadons-nous comme mes parrents et allons très loin. Allons en Amérique et marions-nous dans une grande église!

-Oui je vois ça! lui répondit sa tendre. Nous nous marirons en habit de sport et notre lune de miel sera dans un vieux motel au frontière de l'Arizona.

-J'ignore ou c'est, l'Arizona, mais peu importe! Nous irons si tu le souhaite.

Puis plus rien. Miranda devina que des baisers devaient s'échangé en se moment entre les tourteraux. Elle les enviait beaucoup. Ils avait enfin trouver quelqu'un pour les completer. Mais elle n'avait que 11 ans. Elle avait le temps pour trouver son homme. Mais si elle l'avait trouver?

''Ahhhh... Ou es-tu mon Takezo?''

Une mince larme avait coulé sur sa joue alors qu'elle repensa à cette superbe rencontre dans le parc de l'école. Ses longs cheveux, ses beaux yeux, sa voix mélodieuse que Miranda semble encore entendre dans le silence parfois. Elle aurait tant voulu passer plus de temps avec lui. Elle aurait voulu lui écrire, mais elle n'aurait pas quoi lui dire. Elle regrettait déjà les cours et les devoirs. Si c'était un prix a payer pour qu'elle puisse le voir, c'était très peu demandant pour elle.

Le jour de son départ à Poudlard arriva. Évangéline allait resté à la maison des Delmiels jusqu'au mariage. Miranda allait manquer la cérémonie, ce qui la déçu beaucoup. Elle demanda a chaque membre de la famille de continuer à lui écrire comme il le fesait. Une autre patie de l'année à vivre, le retour aux classes, ses retrouvailles avec le jeune japonais...